Actus

« Enfin elle les tue tous » de Céline Novel

– Avant-première le jeudi 13 mars 2025 au Katorza, à Nantes. Sur invitation.

« A marée haute » de Camille Fleury

– sera projeté dans le cadre du festival « Format court » le 3 avril 2025 au Studio des Ursulines à Paris.

« Cultiver la forêt » de Jérémy HOUADEC

– Jeudi 27 février 2025 à 21h première diffusion sur Tébéo, TébéSud et TVR (canaux TNT 31, 33 et 35)

– Mardi 1er avril à 20h30, nous vous invitons à une projection au cinéma L’Arvor à Rennes, en présence de l’équipe du film.

« La grande terre » de Charlotte Vitaioli & Joachim Monvoisin

– Diffusion le 8 octobre dans l’émission « Libre Court » sur France 3 !!!

Nos films

A PROPOS

Créée en 2014, Les 48° Rugissants produit fictions et documentaires, sans restriction de genre, de durée ou de format.

Établis à Brest, Rennes et Marseille, ses producteurs défendent des films sensibles, ouverts sur le monde.

Anthony Quéré

Anthony Quéré

Producteur

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BIO

Travaillant sur des projets de fictions depuis 2007, j’ai écrit et réalisé, avec Olivier Broudeur, les courts métrages  » Erémia, Erèmia  » en 2007 (Prix Spécial du Jury au Festival International de Clermont Ferrand 2008),  » Dounouia, la vie  » en 2009 (Prix de l’ACSE au Festival International de Clermont Ferrand en 2010) et  » Lueurs  » en 2015 (seul film court français sélectionné au Festival International des Films du Monde de Montréal en 2015). Ces films ont été sélectionnés et primés dans de nombreux festivals en France et à l’étranger.
Nous travaillons également, depuis 2012, à l’écriture d’un long métrage qui a obtenu l’aide au développement du CNC et de la région Bretagne.

En parallèle, je développe actuellement, en solo, un nouveau projet de court métrage  » An American hero « .

Mon désir de connaître le processus complet de création s’est affiné et affirmé au gré des années et des rencontres.

Permettre à d’autres projets d’exister, les orienter dans ce long voyage m’a semblé une évidence.

J’ai retrouvé ces mêmes envies chez Adeline et Maël. Nos parcours, en parallèle (sur le 48ème), étaient complémentaires.

D’autres avant nous avaient tracé un sillage, nous avaient accompagnés, guidés. Il me semblait important de tenir le cap.

Mael Cabaret

Mael Cabaret

Producteur

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BIO

En tant que producteur, j’ai le souhait de faire exister des films sensibles et engagés. Je veux avant tout accompagner les auteurs dans la pluralité de leurs expressions. Voilà pourquoi j’ai décidé de créer Les 48° Rugissants avec Adeline Le Dantec et Anthony Quéré.

J’ai ainsi exploré différents univers, osant certains rapprochements avec le monde de l’art contemporain, comme sur « Ultima Verba », le documentaire crépusculaire de Marine Blanken et d’Eric Prémel, puis au travers du court-métrage onirique de Virginie Barré intitulé « Le Rêve Géométrique », et dernièrement dans « La grande terre », la transhumance post-apocalyptique imaginée par Charlotte Vitaioli et Joachim Monvoisin.

Je me suis également penché sur le monde du théâtre avec « Splendeurs et Illusions », un documentaire de Xavier Liébard qui fait la part belle à l’énergie de la jeunesse, à sa détermination. Le film aborde une étape charnière, alors que ces trentenaires jettent un œil dans le rétroviseur, comme pour marquer un saut de génération. Or cette idée d’étape, de transition, façonne également le documentaire de Lauriane Lagarde « DesAmours ». On y parle du couple, de la vie, de l’autre, de nous. On y cherche sa place dans la société, quitte à chambouler les préconçus.

Je crois que c’est ce qui m’anime : produire des films qui questionnent nos existences et assument une certaine dimension politique. Des films qui racontent les femmes et les hommes qui habitent un territoire et parfois défendent leur identité, comme dans « Les oiseaux de la frontière » de Julie Meyer tourné dans l’ouest américain, ou encore « Riddim » où je m’attache à suivre trois danseurs urbains de Cayenne. Plus récemment, « Le chant de Brest » de Gwendal Le Goff et « Try » de Philippe Lucas complètent la liste de ces documentaires pensés dans la durée, au plus proche de leurs personnages, souvent en immersion.

Toujours dans cette direction, le court-métrage de Céline Novel « Enfin elle les tue tous » apporte sa pierre à l’édifice, en pointant du doigt la place des femmes dans le monde du cinéma. Un film mélancolique, en prise avec son temps où il est encore question de fracture, comme ce sera le cas dans la série de fiction d’Olivier Broudeur « Les Portes du Vent » où l’auteur aborde en 10x12mn la crise que traverse le monde paysan. Plus récemment, « Le cueilleur de mémoires » de Samuel Poisson-Quinton questionne le passé, travaille les archives et ose l’animation pour aborder le temps qui passe, la vie qui défile.

Des films coup de cœur donc, sans restriction de genre. Des films habités qui nous parlent et racontent le monde. Voilà le sens de notre métier.

Victor Thomas

Victor Thomas

Producteur

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BIO

Dernier arrivé de l’équipe – j’ai rejoint Les 48° Rugissants début 2021 – mon objectif est d’accompagner des auteur.rice.s et cinéastes qui ont des choses à dire et à montrer. De produire des films ambitieux artistiquement et des histoires qui touchent ceux et celles qui les regardent.

Je travaille à la fois sur du documentaire de création et sur du court-métrage de fiction. Ce sont des projets qui parlent de la place des humains dans leur environnement naturel ou social et de la manière dont ils se conforment ou se jouent des contextes historiques, familiaux ou géographiques qui les entourent.

Les projets que je suis ont souvent une empreinte qui dépasse le territoire français métropolitain, ils se déroulent par exemple à La Réunion, en Guadeloupe, à New York, au Canada ou encore au Sénégal.

pour échanger c'est ici

besoin d’une info : contact (@) 48rugissants.com

envie de soumettre un projet : projet (@) 48rugissants.com

Les 48 Rugissants

70 rue des Réfractaires et Maquisards,

29200, Brest